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L’idéologie de l’homosexualité militante qui est la vôtre n’a aucun fondement moral en dehors des incantations vagues et confuses sur l’égalité, la fraternité. C’est une idéologie purement démagogique, basée sur des sophismes. Vous écrivez par exemple :
« Ne pensez-vous pas que plus d’ouverture ne nous nuirait pas, ni aux uns, ni aux autres ».
Pourquoi ne pas s’ouvrir aussi aux bandits, aux tueurs, aux narcos, aux démagos. Tous ces gens fraternisent bien dans leur milieu. Pourquoi la société n’accorderait-elle pas le droit à l’égalité citoyenne à tous ces statuts sociaux ou au mariage entre eux avec adoption des enfants ?
Vous écrivez par exemple encore :
« Par ailleurs, la société n’est pas au bout de ses bouleversements. Sentez bien au bout de votre »plume« que vous n’auriez pas écrit comme vous le faites : »je suis homo .../...« il y a seulement cinquante ans de cela.car c’était bien trop s’exposer. Et en disant 50 ans, je suis encore trop bon ».
Vous écrivez n’importe quoi. Avec votre fausse bonté, vous ne voulez pas remonter à plus loin qu’il y a 50 ans pour ne pas nous effrayer. Ne vous inquiétez pas pour nos âmes fragiles, et remontons à plus de cinquante ans, même à plus de 2000 ans si vous voulez, dans la Grèce antique par exemple. Nous découvrons alors une société esclavagiste et phallocrate, où l’homosexualité (masculine) est la base d’organisation de la société, la seule forme de sexualité consacrée par la loi. C’est là peut-être le véritable effroi que vous vouliez nous éviter !
Vous constatez donc que, si la consécration de l’homosexualité au sanctuaire de notre société actuelle par François Hollande est bel et bien un « bouleversement », ce « bouleversement » loin d’être un progrès, est un bond extraordinaire de 2000 ans dans l’un des passés les plus rétrogrades de la société humaine.
La technique de l’homosexualité militante consiste à brandir des thèmes chers à la société pour apitoyer la société et faire ainsi passer sa camelote réactionnaire. La formule magique de l’homosexualité militante se résume ainsi : puisque la société n’arrive pas à soigner le mal, alors il faut officialiser ce mal. La gauche est devenue la porte-parole officielle de cette formule démagogique, par clientélisme politique, par abdication devant le combat pour le progrès social et humain.