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Commentaire de Spip

sur Renault, Peugeot, la dégringolade : la faute à la qualité ?


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Spip Spip 12 juillet 2012 20:33

« Renault ne se maintient que grâce à Dacia » Et dire qu’ils ne voulaient pas les importer, au début. Dans leur esprit c’était réservé aux pays pauvres... Un importateur indépendant ayant compris, lui, que les français s’appauvrissaient l’avait fait et devant ses scores de vente, Renault était vite revenu dans la réalité. Bon, maintenant c’est relatif  : si le pourcentage des ventes de Dacia grimpe au plafond, c’est quand même à partir d’un chiffre faible au départ. Le vrai sauveur des comptes de Renault c’est Nissan ! (qui aurait parié dans les années 70, en pleine vague japonaise, qu’un jour une marque française rachèterait une japonaise ? Pas moi).

Personnellement, quand j’étais plus jeune et désargenté, je n’avais comme solution que de me tourner vers ce que les autres délaissaient : les japonaises d’occasion... Résultat : deux Mazda pas chères, super-équipées, performantes et increvables ! Quant au prix (redouté) des pièces, il aurait fallu que quelque chose casse (pas de courroie de distribution à changer à l’époque).

Depuis, entre autres, un break Volvo pas si fiable que ça et la dernière en date, une Peugeot justement. 406 coupé, un look d’enfer, indémodable, une tenue de route incroyable et... une boîte de vitesse automatique qui casse. La douloureuse n’a jamais aussi bien porté son nom...

Si, avec le souci de préserver l’emploi, je devais changer aujourd’hui, quoi prendre ? Une française possiblement montée en Slovaquie, Tchéquie, Espagne, voire Japon ou une Toyota montée à Denain dans le Nord ? Pas évident, hein ?

Pour finir, Travelword pointe bien la prochaine vague qui risque de faire mal : http://www.caradisiac.com/auto—great-wall/

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