Monsieur,
Je
suis un enfant de la République et comme Homme, comme Citoyen de cette
République, je m’attache et m’intéresse à tout ce qui peut venir la ternir, la troubler
(évidement, pour vous, ceux qui ne pensent pas dans votre sens, sont de fait
des adversaires, donc pro turcs… vision singulièrement simpliste).
Ceux
qui veulent dévoyer la République française au vu de leurs intérêts particuliers
(diaspora arménienne en particulier), sont inintéressants, pour ne pas dire dangereux.
A ma connaissance, « la République
ne reconnait pas de communautés, ni arménienne, ni autres ».
Il
semble que mon texte ne vous convienne pas, je le regrette. Il ne dit pourtant
que des vérités vérifiables. Votre invective n’est pas la bonne manière, n’est
pas une proposition intelligente pour
régler l’histoire turco-arménienne « conflit » que vous entretenez
avec jouissance depuis des décennies, et qui n’est, en fait, pas uniquement turco-arménien.
Vous avez le droit de ne pas être d’accord (liberté de penser), comme j’ai le
droit de ne pas être d’accord avec votre volonté belliqueuse. « Je suis heureux de pouvoir penser ce
qu’il me plait de penser ». Vous ne cherchez pas la paix, mais la
violence dont vous avez, à la différence des turcs, usés et abusés (dois-je
vous rappeler meurtres et attentats commis par votre communauté » ?
Voulez-vous que l’histoire vous flanque de votre histoire (Deuxième guerre
mondiale par exemple, Haut-Karabagh) ?
Je réitère, je refuse l’Histoire
aux mains des politiques, trop dangereux, une atteinte à la liberté, ce qu’après
le précédent Président, le nouveau s’empresse de faire ! Et pour vous
répondre, malgré vos amalgames, c’est une affaire individuelle et non une affaire
d’état.