On commence donc à voir de plus en plus de personnes qui s’intéressent au photovoltaïque d’un point de vue écologique (tout en mesurant le coût économique) et qui réfléchissent à l’autoconsommation : la manière la plus simple (pas de contraintes administratives ou techniques), la plus efficace (meilleure efficacité des panneaux), la plus sure (pas de risque de fuites dans sa toiture ou d’incendie), la plus écologique (pas de destruction de toiture neuve ou d’ajout de produit pour l’étanchéité, pas de travaux électriques supplémentaires) de produire du courant. Toutes ces avantages font que cela devient financièrement intéressant.
A moins de sortir le chéquier ou de mettre sérieusement les mains dedans c’est loin d’être aussi simple que ce qui est décrit. (mais si le chéquier est de sortie, la rentabilité de l’installation prend une claque)
Et les panneaux se raccordent tout seuls aux chargeurs raccordés eux même par miracle au parc de batteries qui s’autoraccordent à l’onduleur ???
La section et la distance des câbles, l’orientation, la pose, le choix de l’onduleur pour le matériel à alimenter (si ça n’est pas que du résistif...) Heureusement qu’il y a l’intervention du divin. -ou du chéquier-
Pour les risques (incendie ou autre) ils existent... Un beau court-circuit sans protection et même si la tension n’est que de 12/24/48v de l’autre côté de l’onduleur....
C’est de la publicité mensongère, autant c’est très sympathique à bricoler quand c’est fait en connaissance de cause, autant tenter les gens sous de faux arguments c’est du lobbying mal placé... (pour bricoler de temps à autre sur une installation familiale, je sais très bien que ça demande un petit investissement niveau temps, mais qu’il y a des contrainte assez nombreuse)