Que des gens aient été démarchés dans leurs villages par les patrons de l’industrie pour ne pas avoir à augmenter les salaires en France est une évidence pour tout le monde je crois.
Le dernier exemple en date est certainement l’embauche de quasi-escalves dans les grandes exploitations agricoles du sud ouest loués par des sociétés espagnoles...
Il conviendrait certainement de réduire ce « Lumpen-prolétariat » avant de pouvoir accueillir d’autres « envies de France » des peuples du monde entier. Mais comment ?
Mettre des barbelés aux frontières ne provoquera qu’une chose : la transformation de la France en camp de concentration. Car les murs enferment toujours beaucoup mieux ceux qui sont à l’intérieur qu’ils n’empêchent d’entrer les gens de l’extérieur. Un régime policier n’est jamais démocratique...
Ce passage de votre commentaire m’a fait bondir :
"... leur
progéniture, elle, refuse d’être traitée de la sorte, progéniture
déracinée dont on ne sait maintenant que faire.«
Si vous ne savez plus quoi en faire, moi je sais.
Nos »quartiers" ne sont rien d’autre que des mines d’or pour ceux qui cherchent l’énergie, la détermination, l’originalité... l’avenir quoi. Aujourd’hui, partout éclate le talent de cette deuxième génération.
Ce ne sont certes pas les molassons bourgeois, calfeutrés dans leurs écoles de commerce qui les fabriquent comme des clones qui vont pouvoir rivaliser avec eux...