@AUTEUR/Dany-Jack Mercier
Nayant pas le temps de bien lire votre article [je l’ai lu en diagonal],
je pense que le vrai problème de l’enseignement en plus du manque de
vocation, c’est que dès le départ, les élèves ne sont pas tant que cela
encourager à suivre ces filières scientifiques.
Je me souviens que ce qui m’a fait aimer les maths c’est un professeur qui enseignait correctement et qui était patient.
Lorsque l’on sait que de plus en plus de professeurs n’arrivent plus à
motiver parce qu’ils sont eux-mêmes démotivés, je comprends que
l’enseignement est réellement en panne.
D’ailleurs, j’ai souvent entendu des élèves/étudiants qui se plaignaient
de leur professeurs parce que ces derniers avaient un mauvais
comportement ou ne suivaient pas le porgramme, d’où des résultats aux
examens qui étonnent. Si vous avez 16 à l’école et que vous n’avez que
10 au bac, je fais le pari que le cours a du dévier de sa trajectoire
prévue...
Une mauvaise expérience que j’ai vécu : Un prof d’anglais ne m’aimait, pas et donc mes notes ne volaient pas haut.
J’aurais pu être nul en anglais s’il n’y avait pas des amis américains avec lesquels il fallait apprendre l’anglais, of course !
Je suis convaincu qu’un élève traumatisé par les maths, parce que c’est
une matière essentielle, aura des difficultés dans ses études.
Je constate aussi que la prise en charge des enfants surdoués est mal
faite, ce qui concrètement est une grosse perte pour le pays...
Si je ne m’abuse 2% de la population est dans la catégorie des surdoués.
Donc un enseignant aurait du au moins une fois dans sa vie en rencontrer un.