@ l’auteur
Bel article.
Et globalement, quand on jette un oeil sur la planète avec un regard« froid », c’est à dire sans se laisser envahir par l’émotion, il faut avouer que l’on a de quoi être désabusé, écoeuré et révolté.
Loin des stratégies et considérations politico-financièro-géopolitiques, ma première pensée a été, va et ira toujours et sans conditions pour toutes les victimes de tous ces puissants.
Ceux là même, quels qu’ils soient, et qui n’ont que leurs intérêts en tête, et qui pour les sauvegarder, créent des bourbiers sanglants et de nouvelles définitions :
on ne dit plus « trucider » un peuple mais « libérer » ce peuple
on ne dit plus ’ingérence« mais »opération humanitaire«
.
Et nous les regardons mourir ces êtres humains, une mort en direct, ou programmée sur quelques générations grâce aux »merveilleuses inventions" de l’armement moderne, lequel nous permet en sus, d’écouler nos stocks de déchets nucléaires (Hourra !).
Nous les regardons mourir... peut-être en attendant notre tour.
Chienne de guerre !