Lamentable article.
Licencier 8000 personnes alors que votre groupe est de 209 000 personnes sur un marché en en recul est une décision responsable. C’est la moins mauvaise.
Marre d’entendre les oiseaux de gauche frapper ceux qui ont plié un genou, se réfugier derrière des bouc-émissaires, des refuges déresponsabilisants.
Une entreprise vit dans un environnement contraignant, difficile, c’est son lot quotidien.
Peugeot ne reste pas inerte, face à la conjoncture de son marché.
On oublie la désignation d’une entreprise « personne morale », comme une personne, elle peut-être faillible comme tout le monde.
Fabrication nationale, non-licenciements secs, ré-industrialisation du site, rapatriements sur Poissy. ce sont des gens responsables.
Bien au contraire, la puissance publique est particulièrement responsable, elle a empêché ses marques nationales de se jeter dans le haut de gamme sur une base Française, Elle sanctionne bien plus qu’en Allemagne le conducteur de grosse berline, avec une carte grise lourde, des années de vignette élevées, des limitations de vitesse qui fait qu’on ne peut utiliser son haut de gamme que sur les autoroutes Allemandes, un permis a point intimidant, des radars à tous les coins.
Une gestion publique qui limite la voiture en ville, fait des parkings chers et encourage le vélo. Le kilomètre Allemand est bien moins cher que le kilomètre Français.
L’auteur explique que Peugeot n’est pas sur le marché chinois, oui il faut fermer en France pour construire l’assemblage en chine. C’est ce qu’ils font.
L’auteur confirme « faiblement » le coût du travail plus élevé en France, rarement on parle aussi des coûts de fonctionnement plus élevés. Les péages, les taxes, les coûts administratifs, les obligations sociales plus lourdes et élevées, comme les impôts sur les sociétés en France.
Au delà de Peugeot, la puissance publique ne considère l’entreprise que comme un percepteur. Augmente les impôts sur les bénéfices et autres charges diverses pour payer son armée de fonctionnaire.
Si bien que les sièges sociaux mëmes les plus francophiles quittent le pays. Renault, n’a t-il pas mis son siège social aux pays bas ?
Le titre de l’auteur aurait du être « la mauvaise place du siège social ».
Un prochain évènement va faire réfléchir :
Air France KLM va licencier, conseillons de suite de mettre le siège aux pays bas.