@C’est Nabum
Votre catastrophisme prophétique est digne de l’ancien testament ! La vie pourrait très bien s’accommoder d’un plus fort taux de radiations. Je me souviens d’un article de La Recherche, assorti de photos, il y a déjà plus de dix ans, qui montrait que dans la zone interdite de Tchernobyl, la nature avait très bien repris ses droits : faune et flore plus exubérantes que jamais. Quelques mutations génétiques, sans doute, mais ça c’est la vie même, et son évolution. Et à supposer que l’homme lui-même disparaisse, il resterait toujours les blattes, lesquelles sont assez peu sensibles, comme beaucoup d’insectes, tout le monde sait cela, au rayonnement gamma. La disparition de l’homme est le rêve de la deep ecology. Auriez-vous quelque chose contre les blattes ? Elles sont comme nous dans la nature et il me semble qu’elles nous valent bien.