François,
Comme on en parlait dans l’Echo de ce jour, j’ai noté les raisons qu’il donnait.
1. Ce désintérêt relatif viendrait du fait que pouvoir exercer ce vote, il faut le connaitre. Le message ne passe pas toujours.
Le scrutin pour les étrangers n’est qu’au niveau « communal ». Il n’existe pour les étrangers européens depuis 2000 et les non-européens depuis 2004.
Le scrutin régional et législatif n’est pas accessible aux étrangers, jusqu’ici.
2. La naturalisation joue un rôle
3. La paperasserie est un obstacle. De plus s’inscrire une fois, c’est rendre le vote obligatoire comme pour tous les Belges.
4. Le niveau de scolarisation, la connaissance des langues locales, l’insertion dans la vie sociale , des obstacles...
5. La grande désillusion vis-à-vis du monde politique est dissuasive encore plus que pour un Belge de souche.
6. L’impact limité du scrutin communal.
L’origine ethnique qui détermine les choix.
Ce qui a poussé le PS et dégraisser les Ecolos.
Voilà, je n’engage que l’Echo, ici