@ Olivier bonjour, cette affaire illustre bien l’impuissance des États moderne face à des sociétés qui s’émancipe de leurs devoir de continuer à pérennisation d’une nation par le travail qui induit par son activité !
De se fait, il se présente à mon avis deux alternatives avec entre tous les nuance possible pour y répondre, soit le choix marxiste de nationaliser soit un autre choix en apparence plus difficile, qui est de demander le remboursement intégral de toute les aide financière que l’État leur à consentie, et de leur imposé par des loi cadres le réinvestissement d’un tiers de leurs bénéfices net dans l’entreprise ! cela il est vrais peut être utopique, si en même temps l’État na pas fait une séparation net entre le monde politique et le monde économique, en favorisant un troisième contre pouvoir de régulation, la société civile qui actuellement est sous représenté par un syndicalisme de se qui y a de plus jaune !
Car tant que l’on aura pas compris que la politique doit porté le trait de l’Égalité, le monde Économique de la Fraternité, et la société civile de la Liberté, nous auront à foison, ce guenre d’affaire, tant que les affaires marches ont truandent l’État par tous les moyens, quand on rencontre un déficits ont en appelle à l’aide public, et l’on se privent pas de sabres tous ceux qui ont contribuent à leurs enrichissement.
Tant que l’on comprendra pas cette éventualité de ses réformes, il est illusoire de s’attendre à autre chose ce qui arrive actuellement a une stérilisation et désertification des richesses et à un appauvrissement généralise qui va faire le jeux des charognard de la Finance !