On en a connu bien d’autres, des Tartuffe, en politique, du coté des roses qui cachent leurs épines.

Je pense à ce crétin à lunettes, ancien trostkiste, qui s’était employé avec son copain volcanologue à détruire l’Education nationale et qui a si bien réussi. Celui-là faisait aussi dans le genre salafo-calviniste constipé. 

Tel autre, François III, copain de l’ancien chef de la police de Vichy, celui qui avait tant insisté pour qu’on payât le billet de train aux enfants dont on envoyait les parents « travailler » en Allemagne, et qui faisait mettre des fleurs sur la tombe d’un maréchal à qui il devait tant, n’était pas mal non plus, dans le genre Tartuffe.

Enfin, l’actuelle « normalité » de François IV me rappelle celle du fils de Philippe-Egalité. Louis-Philippe, roi des François, qui vivait en bon bourgeois, se promenait très simplement dans les environs du Palais-Royal, toujours muni d’un grand parapluie qu’il ouvrait et fermait lui-même, démocratiquement. Il avait une bien bonne tête, une tête en forme de poire, qui ravissait les caricaturistes. Jusqu’au printemps 2012, la France était donc entre la poire et le fromage et elle ne le savait pas. Maintenant, nous connaissons enfin notre histoire et son mouvement dialectique. Je crains qu’après la poire et le Hollande, il n’y ait pas de dessert. Pour moi, c’est pas normal.

Moi, Président, je ferais couler des crèmes glacées sur les places publiques, entre les quatre grâces des fontaines Wallace.

Moi, Président, j’obligerais les députés de la Martinique à venir à l’assemblée le chef couvert d’un baba au rhum.

Moi, Président, je remplacerais le conseil des ministres par une dégustation de nougat.

Moi, Président, j’utiliserais les bombardiers de la force frappe pour faire pleuvoir tous les dimanches des tonnes de dragées et de chocolats fourrés sur les grandes villes de France et d’Europe. Et même d’Iran, surtout pendant le ramadan.

Moi, Président, je ferais napper de chocolat les grands palais nationaux et même Notre-Dame de Paris. Burqa chocolatée généralisée sur tout ce qui peut exciter ce que Saint-Augustin nomme la concupiscence des yeux.