Commentaire de Alinea
sur Histoires de petites violences
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La violence est naturelle parce qu’elle peut nous sauver la vie ; en ce sens elle a disparu aujourd’hui où peu de gens sont capables de se battre ou de se défendre quand on les agresse. Mais la violence qui nous pourrit la vie, à mon avis, ce n’est pas seulement celle de l’adulte resté immature ( donc l’enfant avant la leçon du grand-père) mais une pression incroyable, l’absence quasi totale pour beaucoup du respect de son rythme biologique, l’absence de « travail » sur ses rêves : combien de gens ont le loisir de se remémorer leurs rêves le matin, beaucoup ne s’en souviennent jamais !
La contrainte des individus mais aussi la surpopulation qui fabrique la violence chez n’importe quelle espèce.
Et puis... la névrose, les complexes.
Il y a du boulot Loatse, non ?
Derniers commentaires
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07/08 18:36 - Alinea
Auguste : j’ai lu le lien proposé par Jordanne et je note les noms que vous proposez. Je (...)
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07/08 16:47 - auguste
@ Alinea Mea culpa, j’ai dérivé de la petite violence vers la guerre civile. Je suis (...)
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05/08 20:43 - Loatse
Bonsoir Alinéa Un sacré défi.. passionnant aussi (le travail sur la symbolique des rêves, (...)
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05/08 16:25 - jordanne
Auguste s’est trompé effectivement le bon lien est : http://www.ina.fr/video/CAB02001147/ja2-
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05/08 16:15 - Leo Le Sage
@AUTEUR/Par Alinea (xxx.xxx.xxx.150) 5 août 00:52 Vous dites : « moi....je suis une vieille (...)
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05/08 16:06 - Alinea
auguste : si vous voulez que d’autres que vous et l’intéressé, comprennent quelque (...)
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