La vocation esclavagiste est constante chez l’être humain quel que soit le niveau atteint de « civilisation ».
Dans cette évolution « civilisatrice », l’esclave féodal, qualifié de « machine parlante » par Sénèque, est devenu aujourd’hui une « machine lucrative » de par un esclavagisme économique, systémique et diffus.
La différence entre les deux « statuts » est énorme ; si le sort de l’esclave féodal était lié au sort de son maître, il n’en est absolument pas de même pour le sort de l’esclave moderne.
En effet, il cesse d’exister en tant qu’individu dès qu’il cesse d’être « lucratif », indépendamment des soi-disant « progrès et acquis sociaux ».
Mais il y a plus grave : l’esclavagisme religieux.
La France avait pu, de haute lutte, se libérer de l’esclavagisme des « culs bénis » en faisant de la laïcité un incontournable point d’orgue de nos institutions.
Mais, hélas, un esclavagisme religieux d’importation, qui dépasse de très loin celui que nous avons éradiqué, s’étend dans notre pays dans des proportions de croissance qui apparaissent très inquiétantes.
Cet esclavagisme religieux étranger, où les « culs bénis » sont hautement remplacés par la masse des « culs en l’air », aggrave et amplifie l’esclavagisme social, systémique et diffus évoqué plus haut.
Á cet égard, il n’y a rien à ajouter ni à retrancher à l’excellent article faisant l’objet de la présente discussion.
Ses solides et incontestables références sont d’ailleurs parfaitement validées et attestées par les « culs en l’air » de service dans ce forum, grâce à leurs dénégations lapidaires dénuées, comme à l’habitude, de toute argumentation sérieuse, réelle et concrète.