Une fois de plus, merci Fergus pour cette belle balade.
J’ai de l’Aubrac des souvenirs de vacances d’enfance. Stationnés à St Chély d’Aubrac, notre temps se passait entre pieds trempant dans le torrent au milieu des anguilles et autres poissons dévalant, et longues montées vers le plateau où nous attendait une merveilleuse glace... C’était trèèès motivant ! 
J’aime ces paysages crus, entre landes et roches, qui racontent mieux que quiconque la rude histoire de ces territoires.
Décidément, le granit fait se joindre ses amoureux au-delà de frontières réelles, imaginaires, culturelles, voire inexistantes ! 
Oui, les saisons changent, là-bas, comme ici, sans doute. Les végétations similaires que l’on peut trouver dans ce type de lieu, subissent toutes des variations qui font tourner la tête aux anciens.
Petit aparté : La bruyère était, malgré tout, bien présente ce jour de sa fête à Beuzec. Le grain s’est invité sous les rires capistes, les binious et bombardes ont sonné juste, pour autant et le granit n’a pas tremblé une seule seconde dans le sons des bagadou !
Merci pour ce bel article qui fait hommage à une de ces belle régions de France restée encore sauvage, pour le plaisir de tous.
Pourvou qué ça doure...
Gül