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Et si on se préoccupait du droit de l’enfant ?«
C’est précisément le sujet.
Malgré les rodomontades de la Bibliophile Christique, les mouvements catholiques se font dans la droite ligne de LEUR intérêt et non celui de l’enfant, en lui déniant le droit d’avoir DEUX parents pour des raisons soi disant »morales« .
Entre parenthèses, on ne les entends pas beaucoup quand un prélat quelconque, en France ou ailleurs, se fait prendre la main dans une braguette interdite. Ils ont même tendance à mettre l’étouffoir et à se contenter de déplacer le »problème« , s’assurant le silence parental à grand coup d’ excommunications, et offrant par la même de nouvelles proies au »prélateur". C’est le double effet Kiss-pas-cool.
J’ en étais où, moi...
Ah oui...
Donc l’intérêt de l’enfant est d’avoir DEUX parents. L’ expérience nous montre que le sexe de la parenté n’a aucun effet sur l’enfant. Il n’est pas plus con ou plus intelligent au final, pas plus équilibré ou déséquilibré qu’un autre, pas plus de Gauche ou de Droite après.
Seule différence, il est moins d’extrême droite. On se demande pourquoi...
Un exemple type de ce que le catholicisme peut faire comme ravage : prenons un couple pacsé. Ils se sont débrouillé pour avoir un enfant (adoption, GPA).
Seul le parent biologique est reconnu par la loi. Le conjoint(e) n’existe pas !
Dix douze ans après, le parent biologique meurt. Que se passe t-il ?
Le couple avait beau être pacsé et tout, le conjoint n’a aucun droit ! Il n’existe pas, donc pour le gosse, c’est la DDASS directe, et tant pis pour le viol psychologique du gamin.
Mais bon, si les cathos se battaient pour le bien-être des gens, cela se saurait depuis longtemps.