Le jour où vous aurez compris que Sarközy, Hollande, Mélenchon et « La Peine » roulent pour leur propre intérêt et à l’encontre de celui du peuple un grand pas sera franchi par l’humanité.

Dans une VRAIE démocratie, les « représentants du peuple » (qu’ils soient élus, tirés au sort ou de « Droit Divin ») ne devraient avoir aucun lien personnel avec un membre d’un quelconque groupe d’intérêt qui ne concerne qu’une infime partie de la population.
Tu as un frère qui est à la tête de la plus grosse assurance complémentaire maladie de France : Dehors !!! (surtout si tu es le « pote à Bolloré »)
Tu es avocat « d’Affaires » : Dehors !!!
Tu es le patron d’une entreprise d’armement : Dehors !!!
Tu as des actions dans des laboratoires pharmaceutiques : Dehors !!!
Tu es « Responsable mais pas Coupable » : Dehors !!!
Tu es un parasite incompétent et menteur : Dehors !!!
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’Il y en a plein comme ça, mais je pense que le critère de parasitisme est le plus distinctif de cette « caste ».
...
Tu es manœuvre et tu pousses des brouettes de ciment à longueur de journée : Bienvenue !!!

Tu touchera un SMIC et tes années de représentations seront considérées comme ton travail ordinaire et compteront comme telles pour le calcul de tes indemnités de retraite.

Et si jamais tu touches un pot de vin tu iras en prison pour le restant de tes jours, pour « haute trahison envers tes pairs, le Peuple ».

C’est étrange mais avec de tels critères de sélection je ne pense pas que les politicards professionnels se bousculeraient au portillon. Même ce Mélenchon tant adulé prendrait la tangente... Il n’y a guère que le père Poutou et la mère Arthaud qui accepteraient le poste.

Les Pol-Prof se recycleraient dans la banque ou au service des lobbies qui les ont tant soutenus. Il reste à savoir si les dirigeants de ces lobbies voudraient bien embaucher de tels traîtres incompétents dans leurs entreprises. Ils pourraient faire couler les entreprise aussi sûrement qu’ils ont fait couler l’État.

Il y en a beaucoup qui risqueraient se retrouver sous les ponts, alors ils s’accrochent comme des morpions au pubis nourricier et intriguent et se serrent les coudes pour que leurs privilèges perdurent.