« C’est mon premier article sur Agoravox. S’il est publié et si vous le trouvez pertinent je ne manquerai pas de trouver le temps d’en rédiger d’autres »...
Oui bien écrit, pertinent et sans tomber dans le cliché facile anti écolo (une gageure sur Agoravox), alors n’ hésitez pas à continuer !
Un petit lien sur la quantité impressionnante des déchets :
extrait :
La France produit plus 27 500 de déchets chaque seconde, soit plus de 868 millions de tonnes de déchets par an. Plusieurs millions de tonnes ne sont pas revalorisés.
Certains emballages sont indispensables, d’autres non alors pourquoi ne pas laisser ces derniers au superaket... vous avez raison et quelques uns le font. On peut éviter aussi d’acheter les choses inutiles, cela allège notre poubelle.
Et devenir en effet locavore, nous sommes de plus en plus nombreux à le faire :
Pour savoir d’où viennent nos produits :
Pour continuer cette fois sur le marketing agressif, on peut aussi refuser de donner notre code postal à la brave dame, une fois arrivée à la caisse. Notre ticket bien enregistré dans les données, donne déjà tous les renseignements sur nos habitudes d’achat (nos goûts, heure et date de nos courses) mais ce n’est jamais assez, faut encore savoir d’où vient le péquin afin de cibler l’envoi des prospectus. Cette pratique se généralise partout.
D’accord... toutes nos données sont faciles à recouper mais nous nous laissons trop faire, sommes-nous obligés de tout leur apporter sur un plateau de nous-mêmes ? Après notre code postal, ce sera quoi ? Beaucoup adorent Fessebouc, d’autres non...
Petite histoire :
lorsque j’ai refusé de donner mon code postal (comme d’habitude) l’autre jour, pour la première fois la caissière m’a dit : ben« je ne peux pas vous encaisser si vous ne le donnez pas ». Une autre aurait tapé un code imaginaire, elle non !
Avait-elle mal compris les consignes de son employeur, faisait-elle du zèle .... ? Au bout d’un échange devenu vif, je lui ai donc laissé les bouquins sur le tapis ! Personne n’a bronché derrière...
Allez en avant, faisons meuh, meuu...hh !
J’adore les commentaires :
« on ne peut pas à cause de... » ou « vous oubliez que si ».
Cela cautionne la passivité. Une pilule de Prozac et au lit !
Pourtant en effet, nous avons un certain pouvoir en tant que consomm-acteur ! Même s’il est minime, insignifiant au regard de beaucoup de problèmes « plus » importants nous avons le devoir de l’utiliser. Ce sont les gouttes d’eau qui font les grandes rivières... Adage banal ... toujours conforté par l’Histoire !