Karl Marx sur l’islam dans le New-York Herald Tribune du 15 avril 1854 :
« The Koran and the Musulman legislation emanating from it reduce the geography and ethnography of the various people to the simple and convenient distinction of two nations and of two countries ; those of the Faithful and of the Infidels. The Infidel is “harby,” i.e. the enemy. Islamism proscribes the nation of the Infidels, constituting a state of permanent hostility between the Musulman and the unbeliever. In that sense the corsair-ships of the Berber States were the holy fleet of Islam. How, then, is the existence of Christian subjects of the Porte to be reconciled with the Koran ?
»Le Coran et la législation musulmane qui en résulte réduisent la géographie et l’ethnographie des différents peuples à la simple et pratique distinction de deux nations et de deux territoires ; ceux des Fidèles et des Infidèles. L’Infidèle est « harby », c’est-à-dire ennemi. L’islam proscrit la nation des Infidèles, établissant un état d’hostilité permanente entre le musulman et l’incroyant. Dans ce sens, les navires pirates des États Berbères furent la flotte sainte de l’Islam. Comment, donc, l’existence de chrétiens sujets de la Porte [l’empire turc] peut-elle être conciliée avec le Coran ?"