Sympas l’histoire... Le postulat de base ne tient pas selon moi. Je ne vois pas en quoi un enfant dont certains livres lui serait interdit serait dans une prison. C’est un faut problème, comme si cela allait nuire à sa culture.
C’est très subjectif et part de beaucoup de préjugés selon moi. Il n’y a pas une culture plus appropriée qu’une autre. Ici, c’est un extrêmisme religieux qui est pointé du doigt. Mais il y a des extrême partout. D’ailleurs le rapt de l’enfant est tout aussi extrême.
Les parents peut être essaient eux mêmes de le protéger d’une société consumériste à l’extrême.
Je ne vois pas quelle légitimité à une bibliothécaire de 26 ans à kidnapper un enfant pour le bien de sa culture. En fait le choix des parents est jugé d’après votre résumé, face à une soit disant choix d’éducation supérieure ou plus bénéfique.
J’ai l’impression qu’on passe d’un conditionnement à un autre finalement, et par un moyen pas vraiment judicieux. A vrai dire cela aurait pu être moins violent, mais cela aurait enlevé un atout plus vendeur pour le livre et le scénario.
Et puis votre introduction sur l’homophobie est tout autant subjective, c’est une prise de partie.
Chacun est libre de se faire son opinion sur l’homosexualité, la religion et tout autre phénomène de société. C’est une forme de pensée uniqe.
Même si elle n’est pas imposé par la loi, elle le sera de fait par pression sociale et c’est tout aussi mauvais en soit. Chacun est libre de penser ce qu’il veut. Maintenant dans les faits, les actes contres des personnes homosexuelles, comme toutes autres, sont répréhensibles et cela suffit largement... je ne vois pas en quoi il est nécessaire de fart une place particulière à se phénomène de moeurs sexuel. On verra bientôt les zoophiles clamer le droit au mariage et à l’adoption... ???