Le problème c’est que les « honnêtes gens » ne veulent pas chercher à savoir, ils veulent rester avec la frousse au ventre.
Par exemple après Tchernobyl il y a eu des photos de gamins handicapés qui ont circulé, notamment celle d’une malheureuse gamine hydrocèphale... Le choc des photos et l’absence de commentaire par un généticien...Des cas comme ceux là il y en a plein les bocaux du musée Dupuytren Rue de l’Ecole de Médecine, qui remontent à une époque où il n’y avait pas d’industrie nucléaire. En France on ne voit plus de tels cas car l’on place un cathéter entre la base du crâne et le péritoine ce qui évite la montée en pression et la dilatation de la boite cranienne. Mais chez Soviets ils ne connaissaient pas cette technique du fait qu’il n’avaient aucune naissance « anormale », la priorité dogmatique des Soviets étant à la « Production » vous êtiez infichu de trouver une seule trisomie 21 sur l’URSS, jusqu’à ce que les « temps changent » et l’effondrement de l’URSS.
Lorsque vous voyez une telle photo, une fois l’émoi passé, la conclusion est de dire que la médecine soviétique était nulle sur un tel cas. Mais qui a fait la remarque ? Qui a essayé de comprendre quelque chose ?
Une fois l’émoi passé sur les accidents nucléaires, on en revient à la comptabilité comparative des morts et blessés selon les types d’énergie.
Comparaison du nucléaire et du charbon ? Même en comptant Hiroshima et Nagasaki on en revient au bénéfice du nucléaire, et encore sans compter les pollutions CO2, SO2...
A Nantes il y avait la centrale de Cheviré qui vous crachait une fumée incroyable qui empêchait de voir le soleil lorsque l’on était dans l’alignement des cheminées, et qui faisait que l’on ne pouvait porter une chemise blanche plus de deux heures en été.... Cette centrale a disparu, et les Nantais n’ont pas l’air de comprendre que c’est grace au nucléaire de la Vallée de la Loire.
On peut parler des accident de l’hydraulique à un antinucléaire viscéral, comme dans le cas du barrage de Sayano-Sushenskaya, aucun commentaire en réponse, les antinucs ne veulent surtout pas connaître, pas savoir... Ils veulent comptabiliser des « morts virtuels » dans un monde de « bisous-nours » , car combien de morts par irradiation à Fukushima ???
Là non plus pas de réponse...
Faire croire que l’industrie nucléaire est dirigée par des robots ou comme tels. Des gens qui ne passent pas à la retraite, qui n’ont pas d’enfants, de petits enfants ; qui ne prennent pas de cancer, qui n’ont jamais eu la possibilité passés à la retraite d’écrire un bouquin dénonçant les turpitudes du « système » pour se faire quelques sous au passage.. Enfin de vrais robots....
Et lorsque l’on appuie sur l’interrupteur ce doit être du domaine de la dialectique..
@+