Il me semble constater comme une légère contradiction dans vos demandes :
D’un côté Reopen, et affidés, ne cessent de demander que toute la presse parle enfin du 9/11 et des doutes émis par les truffeurs.
De l’autre, quand un organe de presse se met à en parler, lorsqu’il aborde enfin le sujet, losqu’il évoque les théories complotistes, et surtout lorsqu’il conclut dans un sens défavorable aux théories conspis, on lui dénie ce droit à la prise de position.
N’y a-t-il pas tendance à fantasmer sur les convictions de tous ceux qui ne se sont pas encore prononcés, et à les ranger un peu vite dans les soutiens discrets et prudents aux théories du complot ? Puis, face à une réaction contraire à celle qui était fantasmée, à insinuer que leurs convictions ne sont telles que parce qu’ils seraient contraints à agir ainsi par une « doxa » toute-puissante.
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D’ailleurs quelque chose ne tient pas dans votre raisonnement, Wesson :
Exit la brillante démonstration Wessonienne.
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Quant à Mediapart, il serait surprenant que le dossier diffusé ne reflète pas la profonde conviction du Rédac-Chef qui est à priori responsable de ce qui s’écrit sur son organe de presse, et qui possède en cas de divergence, tous pouvoirs pour intervenir avant publication, ou même après, en s’en démarquant si il en ressentait le besoin.
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Mais non !
Plutôt invoquer, sans preuve, des pressions (? ??) et la soumission contrainte et forcée à une pseudo théorie obligatoire. Ce qui, dans le cas de médias qui font justement profession de se démarquer sur la plupart des sujets, constituerait une exception à leur démarche et une contradiction envers leur liberté de parole revendiquée et assumée.
La liberté de parole, et de réflexion, n’existent donc pas pour vous sur ce sujet puisqu’elle sont aussitôt entachées d’insinuations dégradantes et malveillantes : « Raison Impérieuse », avec tous les sous-entendus qu’une telle « raison impérieuse » implique.
Curieuse approche de la diffusion des idées opposées aux vôtres.