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Commentaire de lucienne1

sur Peines correctionnelles systématisées pour les insoumis aux vaccinations imposées !


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lucienne1 (---.---.164.135) 1er février 2007 17:46

Je réagis à l’article de Yannick Comenge que j’approuve entièrement. Ce qu’il dit du sort réservé à quiconque (médecin, expert , chercheur) ose s’interroger sur la qualité d’un vaccin, je pourrais donner de multiples exemples. On a le droit de s’interroger sur les risques d’un médicament, jamais sur ceux d’un vaccin. L’expert que cite Yannick Comenge et que je connais a été littéralement persécuté pour avoir signalé les accidents qu’il avait constatés parmi les vaccinés contre l’hépatite B. L’objectif était de le faire taire et s’il ne se taisait pas d’attaquer l’homme pour tenter de discréditer ses idées. Il était aussi de faire comprendre aux autres qu’ils subiraient le même sort, s’ils se risquaient à dire la vérité. Cela s’appelle la dissuasion par la menace et par la peur ou, si l’on préfère, une forme indiscutable de terrorisme intellectuel.Il y aura toujours, vu l’importance des enjeux financiers dans le domaine de la santé, des gens pour le pratiquer. Qu’au moins ils se rappellent qu’on peut tuer un homme, mais pas ses idées, et que la vérité finit toujours par s’imposer. Elle s’est déjà en partie imposée à L’Etat qui a dû indemniser une centaine d’infirmières, et elle s’imposera nécessairement un jour pour les milliers de victimes que ce vaccin a faites en France — le record de l’Europe ! L’ennui, c’est que beaucoup d’entre elles ne verront pas ce jour, qu’on les aura lâchement laissées dans un abandon total, avec un coût matériel et humain pour elles et leurs familles inadmissible dans un pays dit évolué, et que ce refus de voir les réalités empêche qu’on les analyse, fige le débat, et nuit à la recherche. Que vaut en effet une science livrée au dogmatisme d’un clan et qui ne considère plus le doute comme un moteur du progrès ? Le mot « vaccin », en France est sacralisé. Nous en sommes encore à l’âge des guerres de religion, avec excommunication à la clé. Je dénonce ce terrorisme intellectuel et les connivences qui lui permettent de subsister. Peut-on me citer un seul exemple, en France, dans le domaine de la santé publique, de procès gagnés par les victimes ? En Italie, oui, au temps des juges aux « mains propres » qui ont lourdement condamné un ministre de la santé et une soixantaine de ses collaborateurs pour corruption liée à la vaccination hépatite B. Au Maroc aussi, récemment, où Glaxo a été condamné pour avoir rendu un tout petit enfant tétraplégique à vie. En France, les victimes ont compris : les tribunaux les condamnent toujours et même, alors qu’elles sont ruinées, à payer les frais de justice ! Nos juges n’auraient-ils pas les mains libres ? Ou se laissent-ils impressionner par des gens qui pourtant leur refusent les pièces qu’ils demandent ? Il y a toujours, au tournant d’une procédure, quelque chose qui rate. Le sang contaminé aura été un modèle du genre. Et l’hormone de croissance ! Première plainte déposée en i991. Nous sommes en 2007. Toujours rien ! Bizarre tout de même...

Lucienne Foucras, auteur du « Dossier Noir du vaccin contre l’hépatite B », éd. du Rocher 2004 Professeur agrégée, actuellement retraitée Sur trois personnes vaccinées en 1996 dans ma famille, deux ont été malades : mon mari est mort d’une très grave maladie auto-immune déclarée après le vaccin, et mon petit-fils, trois ans à peine, a dû être hospitalisé (bien qu’il n’ait reçu qu’une injection !). Groupe HLA défavorable. Maladies différentes : paralysie évolutive dans un cas, et maladie du sang dans l’autre. Deux sur trois, de quoi vraiment s’interroger sur ce vaccin-là... S’il vous plaît, épargnez les enfants !


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