Bien sûr que ce prêtre a
lui-même commis des actes de pédophilie car, comme vous l’écrivez, ‘’il
éprouve une certaine
nostalgie de l’époque où les crimes pédophiles n’étaient pas dénoncés, où
le silence était la règle d’or ‘’. Comment expliquer autrement son
attitude de pardon, il s’applique à la lettre la maxime ‘’charité bien ordonnée
commence par soi-même’’. Et le pardon suprême vient de la papauté elle-même,
qui se fait une gloire de pardonner à tout va, les crimes les plus odieux qui
soient.
Et que dit Dieu dans tout cela ? C’est lui qui a dit que de violer un enfant c’est normal, surtout quand on a fait voeu de chasteté ?
Au sujet de cette phrase dans votre article : "Les gens gardent
cette image en mémoire, celle d’un psychopathe. Mais ce n’est pas le cas.
Imaginons un homme qui vit une grave dépression et un jeune homme qui se tient
près de lui. Souvent, le jeune homme de 14, 16 ou 18 ans est celui qui est le
séducteur.", comment un pédophile
peut-il rendre sa victime responsable de ses bas instincts, même à 18 ans ?
Et quand il s’agit d’un enfant plus jeune il lui fait croire que c’est Dieu qui
l’a voulu ?
Tous ces criminels sont à
jeter aux ordures, prêtres ou non, et quels que soient les pays où ils exercent,
d’autant plus aux Etats-Unis où on en réfère à Dieu dans tous les beaux discours, à toutes les phrases. C’est
le pays de tous les excès, on alterne de l’angélisme aux pires crimes, on abrutit les croyants
de belles paroles dans les églises et à la télévision, où des pasteurs viennent
y faire la morale et on y voit les criminels assassiner et piller, des
prostituées se tortiller nues sur des podiums dans des bars, ou dans les casinos, pour inciter les hommes à consommer de l’alcool.
Alors qu’on arrête de traiter
les pédophiles comme des gens qui ne font pas exprès de violer des enfants, qu’ils
soient tous punis de la même façon :
la castration, chimique ou chirurgicale, dès le
premier crime, et tous enfermés dans des églises, avec leurs ‘’confrères’’ prêtres,
sous la surveillance de ce dieu tellement généreux.
Comme cela les Etats n’auront
plus à les nourrir et les loger, les contribuables ne paieront plus pour le
confort de ces individus malfaisants.