@ Christian Labrune. Soit.
Ne vous méprenez pas, je n’ai rien contre les « débats musclés » et la polémique. Les argumentaires mâtinés d’ironie, de « postures » et d’un peu d’agressivité ne me gênent pas et font partie du « jeu ».
C’est bien au contraire, l’absence de débats véritables, les pseudo-choix politiques et sociétaux proposés par l’écrasante machine politico-médiatique autoritaire, sous couvert de « séductions », l’apathie de certains de mes compatriotes fascinés par leur « Moi », l’anomie... en résumé, ce système hyper-individualiste aliénant, qui pousse à la dépression, qui mérite le mépris. Et ma foi, Internet -à l’occasion- fournit la possibilité de palier un peu à ce manque...
Or donc, pour en revenir à cette affaire, je regrette simplement que vous n’ayez pas pris la peine d’en considérer la possible dimension politique. Je vous retourne, donc, votre conseil donné au sujet des Mollahs, essayez de vous informer un peu sur les soutiens à ces « punkettes ». Une « attaque informationnelle globale » (A. Douguine)...
Ensuite, il est clair que contrairement à ce qu’ont pu écrire certains ici (mais peut-être l’ai-je laissé entendre... toujours cette ambiguïté ?) que je ne fais pas l’apologie aveugle de Poutine et que je ne me réjouis en rien du traitement réservé à ces jeunes femmes.
Là n’était pas l’objet de mon article, vous le savez. Il s’agissait de mettre en exergue tout ce qui sous-tend idéologiquement cette affaire.
Mais il vrai qu’ entre le « modèle byzantin de l’Etat russe » (A. D.) et le libéral-fascisme militariste anglo-américain, mon choix est fait, pour des raisons géostratégiques qui apparaîtront de plus en plus évidentes dans les années à venir... pour les petits Français...