En théorie, les intellectuels de gauche ont tout fait pour essayer de dresser les prolétaires les uns contre les autres. Avec Guily,on voit bien comment les priorités sociales ont progressivement été réorienté par les administrations associations etc... vers les publics spécifiquement migrant, plus facilement manipulables et contrôlables mais pas nécessairement les plus fragiles et les plus pauvres, contrairement à ce que voudrait faire croire leur espèce de racisme à l’envers. Il n’est ni suffisant ni nécessaire d’être étranger pour être pauvre. C’est plutôt le contraire. Logé dans les banlieues des grandes villes ou abondent les tâches ancillaires et les logements sociaux, ils ont souvent plus de possibilité de s’en sortir que des blancs du quart monde de province, ou pire encore, parce que ceux là ne sont pas aidé, des diplômés populaires ruraux. ( pas d’emploi, pas de HLM, pas de commisération sociale des professionnels de l’aide).
Heureusement, dans l’ensemble, les couches populaires françaises sont restée assez hermétique à cet espèces de racisme bobo qu’on a cherché à leur imposer. En témoigne les taux de mariage mixte ; (Le prolo français le peniste est plus exogame que l’animateur socio cul trotskiste). En revanche, il commence à comprendre d’où vient le mépris, qui profite du système sous prétexte d’aide aux pauvres.
Bamboula ? Tous le monde à bien compris qu’il ne fallait pas prononcer certains mots en présence des censeurs hypocrites. C’est tout à votre honneur que votre type vous l’ait dit. Il a cru qu’il pouvait parler avec vous sans faire attention à chaque parole. Mais de toute façon, ce genre de transgressions stupides mais aussi, il faut y insister, sans conséquences pratiques ( voir l’exogamie ) et heureusement en régression ; (voir les sondages de la commission des droits de l’homme).
En revanche, il y a un mot similaire, parfaitement dépourvu de toute connotation raciale. Les « Bambalous ». Comme souvent, il nous vient du sud qui loin de Paris, conserve une certaine autonomie de création linguistique bien rafraichissante. Si j’ai bien compris, cela désigne les parasites, genre alterécolobio, animateurs, intermittents du spectacle, rmistes « par vocation », avec leur encadrement de spécialistes plus ou moins associatifs plus ou moins bien payés pour « s’occuper des pauvres » à grands renforts de crédits publics croissant et sans aucun résultats depuis 50 ans ( en général,ils répondent sans nous c’était pire....) avec quand même de l’ordre de 10 points de PIB pour n’arriver à rien.
On les reconnait facilement à leurs uniformes ( façon jeunes américains contestataires des années 60,).
je pense que ce terme a un certain avenir devant lui. Ainsi, dans une commune voisine de chez nous, il n’y a pas un migrant, mais pas mal de ces « bambalous ». 30% Lepen aux présidentielles.
C’est cela le problème avec le « peuple »on peut tenter de l’empêcher de parler, censurer son langage ou tenter de monopoliser la parole à sa place, mais pas encore de voter.