Dans notre état, il y a les dépenses votées et les mesures nouvelles, les investissement, les couts de personnel et le fonctionnement, et puis les crédits d’intervention. On ne peut pas toucher aux frais de personnel et dans une certaine mesure, aux frais nécessaire pour que le dit personnel puisse faire de la présence. Reste donc, sacrifiable, tous ce qui est nouveau, tous ce qui n’est pas fait par des fonctionnaires statutaires etc...L’alternative serait de tout mettre sur le tapis et avec le professionnels du secteurs, les acteurs sociaux, mais surtout les élus démocratique du peuple, de faire des choix politiques.
Avec un gouvernement à 70% fonctionnaires, 45% profs, c’est exclu. Au delà du secteur culturel, le pouvoir socialiste va diminuer dans l’ordre, les crédits d’intervention, y compris dans le social, les investissement, en tant qu’ils ne bénéficient pas d’abord aux agents publics etc....
Ce n’est pas du tout par antisarkozisme que les caciques socialistes mettent à la diète le reste de la population au profit de leurs militant et cœur de cible électorale
les premiers sacrifiés seront évidemment ceux qui émargent à des crédits publics sans être protégés par des statuts.
La bonne nouvelle pour le secteur culturel, c’est que les intermittents ne sont pas financés par le secteur public mais par un racket sur les cotisations du secteur privé. Ils ont donc toutes les chances de continuer à être financés.