@ j.michel
Votre première
observation ne concerne directement que ceux qui croient en Dieu. Les autres
cherchent à se protéger de la folie criminelle où une certaine logique de la
croyance conduit certains croyants à passer à l’acte.
Heureusement la grande
majorité des croyants préfère fermer les yeux sur les incohérences criminogènes
de leur religion et ne pratiquent pas les crimes auxquels, selon elle, Dieu
appelle ou a appelé.
Ça ne me rassure pas
du tout et je mets en ce domaine toute mon énergie à tenter de convaincre les
croyants personnellement pacifiques
de toutes les religions qu’ils ont le devoir de faire disparaître de leurs
religions respectives cette épouvantable contradiction théologique conduisant aux violences religieuses effectives :
Dieu (bon, parfait,
généreux, miséricordieux…) a commandé (pour les juifs et les chrétiens) et continue
de commander (pour les musulmans) des
prétendus « bons massacres » ! Voyez ci-dessous mes 9 propositions de
2006.
Votre seconde
observation ouvre une réflexion très importante qui pourrait nous entraîner
très loin. Pour ma part je ne peux que répondre que, d’une part il ne faut pas
sacraliser la démocratie, d’autre part il faut tout faire, quand il en est
temps là où le mal n’a pas encore été fait, pour éviter que deviennent majoritaires ceux qui acceptent -
publiquement ou en leur for intérieur - la violence quand elle est prétendument
« voulue par Dieu ».
Ceci met en lumière
l’énorme responsabilité des gouvernants qui, dans les pays démocratiques,
acceptent « pour avoir la paix » (!) de se plier aux exigences des
islamistes.