"Là, je pointe évidemment l’étape cruciale du débat : quand deux libertés
fondamentale se télescopent. Il y a la liberté d’expression qui est
l’un des éléments majeurs d’une démocratie, mais il y a aussi la liberté
du culte et les musulmans, comme tous les autres (chrétiens, juifs,
agnostiques, athées, rien-du-tout) ont le droit au respect. «
en quoi la diffusion de caricatures empêche les musulmans de prier chez eux ou dans une mosquée ? en quoi cela les empêche de lire le coran ?
Bref en quoi cela porte atteinte à leur liberté de culte ?
En rien donc ta phrase n’a aucun sens.
Si des incroyants arrivent à diffuser des caricatures irrespectueuses vis à vis d’une religion ou de certains croyants, c’est qu’en fait ils ne se sentent pas respectés par cette religion ou ces croyants. Les religions qui gênent pas on n’en par le pas.
Le respect ça se mérite et ce doit être réciproque.
Par exemple, il y a maintenant plus de bouddhistes déclarés que de juifs.
mais on n’entend pas parler d’extrémistes bouddhistes, de censure bouddhiste vis à vis de ce qu’ils pourraient considérer comme offensant. en fait ils respectent la liberté des français qui ne sont pas bouddhistes, du coup il n’y a pas de caricatures contre les bouddhistes comme on peut en voir avec les juifs extrémistes par exemple ( comme sur la couverture de charlie hebso ).
Et ce même si en tant qu’incroyant on peut considérer les croyances bouddhistes aussi ridicules que celles des monothéistes.
Pour résumer et simplifier les bouddhistes en font pas chier les français, en retour les français ne les font pas chier, et donc ils sont respectés.
On ne peut pas en dire autant avec les religions monothéistes, d’où les caricatures de Charlie hebdo à leur encontre.
Sinon avec le raisonnement de l’article, il faut se plier à la loi du plus fort, du plus violent, et donc on n’est plus en démocratie. C’est à l’état de garantir la liberté d’expression, et combattre le »gauche" d’utiliser la violence pour montrer son intolérance très rance.