Ouiiii
Que les taureaux puissent choisir leur mort, et que les enfants adoptés subissent les choix des lobbies.
On attends avec impatience un article sur le droit de taureaux invertis à élever des veaux orphelins, hélas si nombreux.
La confusion entre animaux, nature, homme n’est pas un pleurnichement innocent. Elle est une attaque ouverte contre la croyance en une ultime dignité de la personne humaine. Celle qui fait qu’à 99% de gênes commun, on continue à penser qu’un homme ne relève pas du même traitement qu’un chimpanzé. Car sur le plan quantitatif, 99% c’est pareil, et affirmer le contraire est essentiellement une croyance.
On commence par entretenir de telles confusions. On admet, même écolo, que préserver la « biodiversité » passe par l’élimination des renards surnuméraires en zone périurbaines. On vote des lois sur l’euthanasie, qui donnent le droit de choisir sa mort, puis au nom du principe d’égalité, à celui que celui qui ne choisit pas devrait choisir, et en période de déficit de la sec. soc. l’expert administratif saura un jour nous dire qui à le devoir de le faire. Quel écolo niera que l’abondance huamine nuit à la biodiversitédurable autobioselfpar elle meme dégradabel ?
Du reste, on y est déjà, avec les écolos qui préfèrent sauver les éléphants, dussent les locaux crever de faim aux limites de la réserve que les premiers sont payés grassement pour défendre et entretenir.
Il me semble que vos positions, ici comme ailleurs sous des dehors gentillets, vont toutes dans la direction d’une terrible et inquiétante régression de l’humanisme.