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Commentaire de velosolex

sur L'imposture du concept de « racisme anti-blanc »


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velosolex velosolex 1er octobre 2012 13:20


L’auteur est sans doute un honnête homme, un type tentant de s’opposer à toute forme de racisme, mais il me semble qu’il tire ses analyses et ses conclusions d’une façon péremptoire de son propre vécu, et de certitudes très contestables.
 Attacher le racisme au fait colonial, c’est un peu léger. Toutes les sociétés expansionnistes ont simplement utilisés le mépris de l’autre, de sa couleur, de sa langue ou de ses coutumes, pour éviter tout débat moral.

 Et ça depuis la plus grande antiquité.
 Les barbares et leurs coutumes étaient ceux qui venaient d’ailleurs. Les romains ont caricaturé la culture des gaulois pour mieux justifier leur esprit de conquête. Cette image de gaulois « y a bon banania » ayant peur par exemple que le ciel leur tombe sur la tête nous a été transmise même dans l’histoire de France, qui a vrai dire n’existait d’ailleurs pas encore.

Pas un exemple donné par l’auteur qui ne soit surprenant dans ses analyses partisanes, ses sophismes, et ses interprétations, mais on n’en finirait pas. Mieux vaut en sourire. Ce jargon pseudo scientifique a pour volonté de tenir une forme de racisme pour fantaisiste, ce qui est surprenant, dans ce système qui est universel. Mais certains avec les mots, parviennent à changer le plomb en or....

« Pour dire les choses simplement, le racisme est univoque : il va toujours du plus fort vers le plus faible. »
Ce genre de certitudes à grand effet de manche ne signifie rien. Le racisme est constitutionnel de la rencontre de deux groupes, sur fond de bétise, de peur, de discours paranoïaque développée par des politiques malins et cyniques voulant récupérer la mise ( voir au rwanda entre ce délire développée entre hutus et tutsis au bénéfice des agitateurs).

En Allemagne nazie, le racisme développée par les nazis fut bien programmé lui aussi pou r spolier les juifs, et servir de ciment au national socialisme.

Autant de graines et de scénarios à l’ouvrage. Mais toujours le même font d’humanité, ou d’inhumanité, auquel on aurait bien tort de donner une couleur, ou de le développer à partir d’un fait, d’une date, comme le fait colonial, comme le pense ou fait semblant de le penser naïvement l’auteur, qui raccroche tous les wagons de sa pensée à cette interprétation abusive, en parlant de « société post-coloniale... ».

Le racisme comme la connerie n’a pas de couleur !
 Et bien sûr que le racisme anti-blanc ou anti-français existe et peut se développer !
Et cela d’autant plus qu’on ne veut pas le voir,
Par le fait qu’il inverse les pôles de l’idéologie victimaire, dont certains ne veulent peut être pas sortir.


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