Commentaire de Alois Frankenberger
sur Rachida Dati et la justice de son pays d'origine
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Il n’était pas clair dans votre article que le délit devait être accompli au Maroc pour qu’un juge marocain puisse entamer des poursuites.
On est donc dans un cas où on pouvait se poser la question de la faculté des juges marocains à poursuivre des faits qui se sont déroulés à l’étranger, notamment les relations sexuelles hors mariage de madame Dati et par extension, d’autres faits qui sont vraissemblablement délictueux au Maroc tel que des caricatures de leur supposé prophète ou un film peu élogieux à propos de celui ci.
Derniers commentaires
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04/10 08:25 - Izmir
Et puis sans vouloir offenser personne ici : pour comprendre ce genre de cas et pouvoir se (...)
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04/10 07:58 - Izmir
Euh... pour Cadoudal : Juste comme ça en passant :- qu’est-ce qui te dit que je suis (...)
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04/10 04:40 - le poulpe entartré
Salut Wesson ! « Pour en revenir au sujet, même si cette »polémique" existe, elle est (...)
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04/10 01:44 - wesson
bonsoir Nicopol, je veux bien croire que mon impression du Maroc est très partielle, et (...)
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03/10 22:50 - nico31
Je pense que le manque de réaction des commentateurs n’est pas la conséquence d’un (...)
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03/10 22:42 - N.AMARA
ça c’est vraiment pas une réflexion intelligente (quel c...)
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