La notion de bonheur est à tort dans
nos sociétés, reliée au travail. C’est à la fois une vision
médiatique incitant à prendre n’importe quel emploi, et en plus au
niveau social, ce qui est (injustement) obligatoirement dans la
discussion, pour juger l’autre par "vous êtes un être en
difficulté car vous n’avez pas de travail".
C’est déjà faire semblant d’accepter
que l’accès au travail est facilement réalisable, ce qui est faux.
De plus les contrats à titre gratuit ou faiblement rémunérés ne
sont pas des tremplins, mais la masse d’emplois la plus proposés :
contrat à durée déterminée, à temps partiel ou stages gratuit.
Les revenus sont devenus si faible,
qu’ils ne permettent plus de faire face aux dépenses pour vivre en
société. La hausse des prix généralisée par la spéculation et
l’augmentation constante du prix de l’inflation ne sont pas suivis
par celui des salaires, avec des contrats de plus en plus précaire.
Malgré l’immobilier hors de prix
(location et achat) et la cherté de la vie, la pression des êtres
humains entre eux, des médias, des psychologues, de tous types de
relation sociale comme professionnelle, amical et familial, vient à
faire croire que le travail résouds tous les problèmes divers et
variés, sans prise en compte d’autres facteurs de la société
actuelle.
La durée du temps de travail dans les
sociétés capitalistes ne permets pas à une masse démographique
aussi énorme d’accéder à l’emploi. Surtout que les revenus sont
faibles par rapport aux richesses créées, et l’on ne peut même pas
avec ce productivisme à durée de temps de travail élevée (il y a
moins de 20 heures par semaine dans les sociétés traditionnelles)
se protéger sur une période de temps même minime.
Ce qui surexploitent par le temps de
travil et les ressources disponibles locales ou autres régions du
monde, ne sont pas des travailleurs mais des exploiteurs. Ils ne font
pas travailler mais exploitent des humains à leurs comptes.