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Commentaire de bakerstreet

sur Nicolas Sarkozy : « Sarko tu nous manques ! »


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bakerstreet bakerstreet 7 octobre 2012 02:52

C’était une journée d’octobre comme on les connait à Londres : Froide et pluvieuse.
En raison de l’humidité du temps, une vieille blessure reçue en Afghanistan me lançait sourdement.
Holmes lui aussi n’était pas au mieux, et faisait les cent dans cet appartement de Baker street où il avait résolu tant d’énigmes.
« Quelquefois, je me demande, en voyant ce maudit fog qui sévit de plus en plus, si nous ne devrions pas prendre nos quartiers en France ! »
« My god, êtes-vous sérieux, Watson ? Aller vivre avec les froggys ! »
« Et pourquoi pas ? Il me semble que ce pays a changé de nature depuis qu’ils ont viré ce petit homme au regard insolent et aux propos stupides ! »
« Fort bien, je sais très bien que Napoléon est mort depuis longtemps. Mais le fait est là, ces gens là mangent toujours des grenouilles, et pire, du cheval ! »
« Je ne parle pas de Bonaparte, mais de Sarkozy ! Il est partit pour de bon à l’ile d’elbe, ou au Maroc, avec quelques grognards fidèles. Je ne sais plus...En tous cas Les français n’en voulaient plus et l’ont destitué.

 » A ce propos, j’ai lu aujourd’hui dans le Times, qu’une dépression étrange s’est abattu sur ce peuple. Après l’avoir viré, il semble que certains n’ont qu’une hâte : Qu’il revienne, comme naguère ce petit homme qui fit trembler notre empire, et que nous fûmes obligé d’envoyer à saint-Hélène.
« Ne vous perdez pas en conjoncture futiles, Watson, me dit Holmes. Vous qui êtes un médecin devrait plus connaitre la nature humaine. ! »

« Que voulez vous dire ? » Lui demandais-je piqué, ne supportant pas trop qu’il empiéta ainsi sur mon domaine.
" Et bien, voilà, je dirais que le cerveau et l’attention d’un homme durablement attaché à une tache se trouve perturbé, dés qu’il a trouvé la résolution de ses mots.
Après l’action, la dépression en quelque sorte.
Il arrive aux français ce qui m’est arrivé après la mort de mon grand ennemi, ce professeur Morialty qui était l’incarnation du mal !
Si je me suis félicité de l’avoir vaincu, je crois admettre parfois qu’il me manque

« Damned, Holmes J’ai compris.
C’était votre meilleur ennemi ! »

Mais c’est élémentaire, mon cher Watson


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