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Commentaire de Alois Frankenberger

sur La fabuleuse énigme de l'église Saint-Philibert de Tournus


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Alois Frankenberger Alois Frankenberger 18 octobre 2012 10:51

Personellement, je ne lis pas « isis » sur la pierre que vous montrez.

De plus, la plupart des évèques de cette époque l’étaient parce qu’ils étaient des cadets des grandes familles aristocratiques locales et qu’ils étaient plus enclins à manier l’épée que des écrits gnostiques.

L’auteur semble oublier qu’à part les moines des monastères la plupart des gens étaient analphabètes à l’époque en ce y compris dans les classes dirigeantes ( il n’y avait pas de livres à part dans les monastères et donc pas de raisons de devoir lire ni de possibilités de s’entraîner à lire ) qui recouraient justement aux moines pour écrire et lire les textes de communications.

Rappelons nous que c’est à cette époque qu’on recourrait aux clercs et aux secrétaires pour écrire et lire le courrier ( les destinataires étant manifestement incapables de le faire eux même ) et que ces deux fonctions perdurent tant bien que mal jusqu’à aujourd’hui.


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