Il ne doit pas s’agir de repentance mais de reconnaissance de crimes couvert par l’Etat de l’époque, doit-on rappeler que c’est le tristement célèbre Maurice Papon qui était préfet de paris lors de ces tueries car des hommes sont morts dans des commissariats, d’autres appelés « NPB » pour noyés par balle ont été repêchés dans la Seine et après la reconnaissance de ces crimes comment ne pas rappeler ceux de Sétif et Guelma, des Algériens tués par milliers, des corps par bennes entières déversés dans les fours à chaux pour ne laisser aucune trace, pour que la France présente bonne figure devant l’opinion internationale, là des historiens sérieux parlent d’au moins 15000 morts ! Il faut rappeler les contextes dans lesquelles ces tueries se sont produites, il faut ne pas faire comme si cela n’avait pas eut lieu. La France est capable de faire son autocritique, elle est capable de reconnaître ces horreurs passés mais en aucun cas, les français d’aujourd’hui doivent se sentir fautifs, en aucun cas on ne doit chercher à culpabiliser, cette démarche revancharde est à bannir, il faut uniquement la reconnaissance de ces évènements que des études historiques basées sur des faits démontre incontestablement. Si je suis sur que la France est capable de faire son autocritique, reconnaitre ces crimes passés, je n’en dirais pas de mêmes de l’Algérie et des massacres de 1988, des tortures, des meurtres d’opposants, des manipulations qui feront portées des crimes d’Etat sur des Islamistes…mais ça c’est à l’Algérie de laver son linge sale en famille, peut être dans un avenir lointain elle pourra le faire. La France elle aussi lave son linge sale en famille, avec tous ses enfants, tous français mes avec des origines différentes !