Je suis né à une époque où il y avait déjà une grosse
diaspora maghrébine, arrivée en France dans les années 70 après avoir obtenu
l’indépendance de leur pays (wtf ?). Contrairement aux idéologues de gauche, j’ai
grandi avec les enfants de cette diaspora, je suis allé à l’école, à la MJC, en
colonie de vacances, et au foot avec eux.
Mais depuis le début des années 2000 il se passe quelque
chose de très grave. Avec 200 000 entrées (dont 80% pour regroupement familial)
et 150 000 naturalisations par an, c’est la population de la France qui est en
train de se faire remplacer. La diaspora des années 70 avait fait des enfants,
qui, minoritaires dans les écoles et dans les villes, allaient pouvoir
s’intégrer à la population majoritaire avec les années, être fier de leur pays,
chanter la Marseillaise, se marier avec des Français et nommer leurs enfants
Alexandre et Sophie, comme l’avait fait les Italiens, les Espagnols, les
Portugais et les Polonais avant eux. Mais l’afflux de 2 millions d’immigrés
(+500 000 clandestins) en moins de 10 ans a changé la donne : désormais dans de
nombreuses écoles les Français sont minoritaires ou tout simplement absents.
Rien que le collège où j’ai fait ma scolarité dans les années 90, qui comptait
alors quelques éléments « de la diversité » est quasi-entièrement
maghrébo-turc aujourd’hui. Je les entends dans le bus s’appeler entre eux « vas-y
négro, fais pas ton céfran prête moi ton iphone ».
A quoi vont s’identifier ces centaines de milliers de jeunes
venus d’ailleurs ?
La gauche leur
apprend que la France est un pays de merde, colonisateur, esclavagiste,
responsable non seulement de la pauvreté de l’Afrique, mais également de la
situation professionnelle de leur père et de leur échec scolaire. Les
politiques passent leur temps à se vautrer dans la veulerie de la repentance :
la France c’est Vichy, c’est le Vel’ d’Hiv’, la Rafle, la Maison des Esclaves,
Octobre 1961 etc.
SOS Racisme leur enseigne que les Blancs sont mauvais,
racistes, et que s’ils ne rentrent pas en boîte c’est parce que le vigile,
Camerounais, a eu ordre de ne pas laisser passer les noirs et les arabes. J’ai
vu une bande de 10 maghrébins, que des hommes en jogging, insulter un vigile
noir (« retourne dans les champs de coton » !) et le traiter de
raciste parce qu’il ne les laissait pas entrer dans un bar.