Venons en aux faits.
Cette histoire du 17 Octobre est une entreprise de désinformation comme les couveuses du koweit ou l’anthrax de Bush ! Le plus fort est que l a légende des 100 à 200 morts a déjà été revue à 50 morts maximum par la
commission mise en place par Jospin et qui a enquêté sur le sujet .
Depuis, des enquêtes d’historiens( pas de journalistes favorables au FLN, d’historiens factuels....
Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?
– Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant
massacre, l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’a enregistré aucune
entrée de corps de “NA” (NA = Nord Africain dans la terminologie de
l’époque).
– Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule
victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un
Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le
cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?
– En dehors du périmètre de la manifestation, “seuls” 2 morts furent à
déplorer, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et
Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette,
également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les
forces de l’ordre.
Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice
Legay le directeur général de la police parisienne fut donc de 3 morts.
Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de “noyés” auxquels
l’actuel occupant de l’Élysée a rendu hommage !
Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les
jours suivants. Faux, car ce n’est pas ce qu’indiquent les archives de
l’Institut Médico Légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, “seuls” 4 cadavres de “NA” furent admis à la Morgue :
– Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la
légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la
circulation à Colombes.
– Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.
– Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.
Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts “victimes de
la répression” avancés par certains et pour lesquels M. François
Hollande a reconnu la responsabilité de la France ! [...]
Maintenant, il est probable que la répression policière n’a pas été tendre, le nombre de traumatismes craniens enregistrés dans les hotitaux. mais les « arabes jetés à la seine » l’ont été par le FLN, soit parce qu’ils refusaient l’impot, soit parce qu’ils étaient MNA.
Voilà, pas de quoi faire une repentance.