Bonjour, Ddacoudre.
Votre article rejoint et complète celui publié hier par Ionysis, et comme lui, il est inspiré par l’actualité. Une fois n’est pas coutume, je me permets de retranscrire ici le commenatire que l’article de Ionysis m’a inspiré :
"Vous avez raison de stigmatiser cette propension à la repentance. Notre histoire est faite d’évènements dont nous pouvons être fiers (merci de citer l’abbé Grégoire) et d’autres qui nous laissent un goût amer, voire un sentiment d’écoeurement. Mais c’est aux historiens et à seuls qu’il appartient de nous dire dans quelles circonstances ont été prises les décisions et quelles en ont été réellement les conséquences.
Cela étant, il semble évident que vous avez écrit cet article en réaction au communiqué de Hollande sur les évènements du 17 octobre 1961. Et en l’occurrence, vous auriez tort d’assimiler le propos de Hollande à une quelconque repentance : contrairement à tous les dirigeants de l’exécutif français avant lui, le président reconnaît la réalité du massacre, rien de plus : ni excuses, ni repentance. On est là bien loin des lois mémorielles."
En conclusion, OUI à la reconnaissance des faits, NON à la repentance car, comme vous l’avez souligné, les Français d’aujourd’hui n’ont pas à porter le poids des fautes commises par les Français d’hier.