»Quant à la revendication d’un réferendum sur
l’immigration, si elle peut arborer une légitimité de façade, elle est tout
simplement obsoléte. On ne peut pas arrêter le vent...«
@ L’auteur,
Il est toujours hilarant de voir
comment les gauchistes incultes et décérébrés qui disqualifient toute
initiative concernant l’immigration sous prétexte qu’ "on ne peut pas
arrêter le vent" (sic), sous les mêmes exactement qui, du haut de leur
totale médiocrité intellectuelle et aux confins de leurs ultimes
contradictions, prétendent vouloir « dépasser le capitalisme »
???!
On ne sait s’il faut en rire ou
en pleurer.
Egalement, il est toujours aussi drolatique de
constater que nos franc-maçons bouffeurs de curés type Mélenchon, tels de géniaux
contorsionnistes, viennent défendre l’islamisation de la France conformément à
leur rôle d’idiots utiles qui leur a été attribué par l’oligarchie mondialiste
destructrice des identités, des cultures, des peuples et des nations.
Bravo les résistants de salons dorés parisiens !
L’une des banderoles affichées par les identitaires
sur l’ouvrage en construction reprenait ce slogan : "immigration /
construction de mosquée = Référendum".
Si l’on considère que le principe du référendum est
en soi un bon principe, souhaitable de voir utiliser sur des enjeux
d’importance, je ne vois pas comment on pourrait l’invoquer en ce qui concerne
le nucléaire (Front de gauche) et refuser de faire de même sur la question des
phénomènes migratoires, c’est aberrant.
A moins bien sûr de considérer qu’une planète qui a
vu en moins de 150 ans sa population passer de 1 à 7 milliards d’individus
(pour remettre en perspective : 200.000 ans pour atteindre le milliard) n’est
pas un phénomène majeur ni même notable et aux effets potentiellement
fondamentaux ?
Ou bien même de considérer que rien ni personne ne
puisse être en capacité d’entraver ce processus ?
Auquel cas, encore une fois, l’on devra plus que
douter de la capacité de certains - et souvent des mêmes imposteurs - à
prétendre ni plus ni moins vouloir réformer le capitalisme...
On ne peut plus tartuffesque.