Bonjour Bernard,
Je réfléchis ici et rassemble quelques connaissances :
Oui on enseigne la biologie quantique aux étudiants en neurophysiologie et sans doute en neuro / endocrinologie (très proche), y compris sans doute en embryologie.
Le souvenir de ce prof nous expliquant que pour atteindre une cible, il est plus facile de lancer une poignée de sable qu’une pierre du même volume, s’appuyant sur le phénomène qui suit, de réduction des « connexions » pour arriver à LA connexion fonctionnelle.
Partant de là, je reprends votre comparaison pour la discuter :
« Imaginez que vous rentrez du Cap Ferret pour rejoindre le centre de Bordeaux un dimanche ensoleillé. Vous pouvez emprunter plusieurs chemins en jouant sur une combinaison de portions de route. Vous testez chaque parcours puis vous revenez à la case départ pour prendre celui qui vous mènera à bon port dans le délai le plus court. »
s’il s’agit d’une poignée de photons, on peut imaginer que l’un d’entre eux va « tester » le chemin le plus court, que le suivant « informé » (la voie est libre parce que légèrement « facilitée » ou carrément facilitée par une petite partie de la poignée de photons qui « forcent le passage » sans trop se forcer - histoire d’énergie - ouvrent la voie royale.
Dans la nature, les photons abondent, donc on peut penser que pour que le phénomène ait lieu, il faut des photons à profusion (pelletée de sable), c’est pourquoi je réfute ceci
« Par contre, l’énergie du photon peut, à l’échelle quantique, tester les chemins dans la molécule de transfert et choisir le plus rapide pour aller vers les centres moléculaires de la carbosynthèse » pour proposer :
Par contre l’énergie du photon aidé de ses compères éclaireurs (!) - désordonnées et brouillons - peut, à l’échelle quantique, emprunter le chemin le plus rapide pour aller etc..."