@Croa
Hé
hé...
Permettez-moi de vous taquiner.
Vous vous contredisez :
« Linux
est encore plus modulable que ça !
Il est possible de choisir quasiment tout ce qui compose le
système »
En effet, Windows
n’est pas si « modulable que
ça », justement (D’accord !
La différence, par exemple,
entre un XP Home
et XP professional
avec SP3 et ses correctifs
est assez flagrante. Pareil pour Windows
7.). En
ce sens, Windows
est unique.
Par
exemple, pour le montrer, lorsqu’on
télécharge une application donnée (LibreOffice ou VLC, par
exemple), il existe, au maximum, deux versions pour Windows
(la 32-bit-like et la 64-bit-like).
La même application est déclinée en plusieurs choix possibles sous
Linux (outre le Linux générique) : Debian, SuSe,
Fedora Core, etc. C’est ce qui me
dérange un peu avec Linux que j’aimerais bien (vous n’avez pas
idée, avais-je dit) utiliser, soulignons-le.
Mais,
pour vous faire plaisir, les deux qualités d’un système
d’exploitation moderne (outre les qualités indispensables du genre
multi-thread, multitâche et autres
multiprocesseurs) sont la stabilité et la sécurité. Entre Linux et
Windows, d’après ce que j’ai entendu, il n’y a pas photo :
Linux est (trop ?) largement gagnant.
Qu’est-ce
à dire par rapport au sujet qui nous préoccupe ?
Le
problème lié à l’informatique professionnelle ne trouvera sa
solution que dans la réduction de l’influence des lobbies dans la
sphère politique. La France n’est pas la dernière en termes
d’infrastructures informatiques (fibres optiques et serveurs,
notamment), mais, un politicien qui ne connaît que Windows
sera, d’autant plus, aveuglé par la pression de la multinationale
de Bill Gates ou de la firme à la pomme
croquée (ne l’oublions pas non plus) que Linux ne fait pas de
publicité (quelqu’un aurait-il vu une publicité à la télévision
sur Linux, par hasard ? Moi, jamais !) parce qu’il n’en
a pas besoin. Si vous souhaitez réduire les dépenses et en même
temps améliorer les compétences informatiques des futurs
techniciens, je vous recommande d’enseigner Linux à l’école
primaire. Quel politicien oserait ?
Ne parlons même pas de
la mentalité qu’il faut changer...