Merci
à l’auteur pour cet article qui se veut, dans une certaine mesure,
complet. Mais, nous aimerions en savoir davantage.
@L’écureuil
à Spirou
Les Français sont effectivement nuls en géographie,
pour la plupart. Merci de le rappeler, bien
que je le sache depuis longtemps.
Erwin
Rommel était sans doute le meilleur combattant de la campagne de
l’Afrika Korps
en … où déjà ? Devinez !
« Curieuse
réécriture de l’histoire par une non moins curieuse
géographie. »
Je suis sûr
que certains Français s’imaginent que Paris fut libérée par les
Américains alors que, à ce que je sais, les Résistants (qui ne
sont pas à proprement parler des militaires) firent l’essentiel du
travail et la seconde division blindée du général Leclerc (Non !
Pas le PDG de la société du même nom !) n’entra qu’après...
sans les Américains, bien sûr.
D’autres
Français doivent
se dire qu’ils doivent leur victoire au débarquement en Normandie.
Réponse claire de ma part : Que non ! La France doit sa
libération à Stalingrad, le tournant de la Seconde Guerre Mondiale.
Je rends hommage à tous ceux et celles qui sont tombés en ce lieu
mythique, symbole de la lutte contre la bêtise humaine. Sans
vouloir minimiser les autres faits d’armes, le monde que nous
connaissons découle directement de ce moment-là : 3
février 1943 à Stalingrad. Si la
Wehrmacht
avait vaincu les Soviétiques à Stalingrad, le grenier à blé
(Ukraine) de l’Europe et
les raffineries de Roumanie (très à
l’Ouest, certes) seraient mieux sécurisés
(du point de vue nazi).
L’oural (au Nord-Est, certes) auraient été plus facile à envahir
et les champs pétrolifères de Bakou seraient aux mains des nazis :
métaux (pour les chars, les avions,
les chemins de fer) et pétrole (pour le
carburant et les
objets divers). Tout
ce qu’il faut pour une armée moderne...
Plus
jamais ça !
Pour
ceux qui veulent refaire l’histoire, il existe encore des logiciels
de jeux...