@loaste
Vous dire une bonne fois pour toute le fond de ma pensée, après mûre
réflexion : le nucléaire militaire et civil c’est de la merde !
voilà, comme cela c’est plus simple à comprendre,car pour le reste, je ne parviens pas à trouver aucune logique dans le propos.
Et 250.000 morts, ceux-là ,ils sont bien morts.
Leo
1/ Ils savent que c’est une zone sismique et qu’il est interdit au Japon de construire une centrale sur une zone sismique.
nouveau ça, il y a d’autres centrales sur et à côté de failles, tout le Japon est sur des failles.
2/ pour pouvoir construire il faut corrompre car les infos sont connus.
ben non, tout le monde construit sur des zones potentiellement dangereuses au japon,
3/ Ils savent aussi que le risque de tsunami est réel.
Je ne me rappelle pas des chiffres mais si le minimum est par exemple de 10 mètres, ils ont décidé de n’en faire que 7...
(Là aussi il faut corrompre)
faux à nouveau,la preuve, toutes les défenses antitsunami sur cette côte ont été submergées.
4/ Le tsunami avait frappé à hauteur par exemple de 13 mètres...
5/ Le patron connaissant le chiffre exact (10m) veut évacuer immédiatement.
faux encore, ils n’avaient aucune idée, ni le patron, ni les employés.
D’ailleurs personne n’avait la moindre idée, la preuve, 250 personnes se sont réfugiées dans un gymnase désigné pour les protéger d’un tsunami, 3 ont survécu en réussissant à monter sur le toit.
A ce compte là, vous pouvez mettre tous les gens qui de près ou de loin ont construit au japon en cellule.
6/ On sait qu’un directeur n’a pas voulu évacuer mais à préferer tenter
le tout pour le tout pour sauver la centrale d’une explosion
On raconte bien des choses,mais le personnel était sur la centrale, et a appliqué les consignes, (qui se sont révélées peu appropriées, mais c’est une autre histoire)
Et Personne n’ fui la centrale, mais si cela vous fait plaisir de croire à des sornettes..
7/ Si ce héros n’avait pas été là, il paraît que çà aurait été pire que tchernobyl...
A méditer...
bref, sur ce sujet ,on raconte énormément de choses, qui à l’arrivée se révèlent toujours fausses.
Une vieille technique, et qui marche, la preuve, certains évoquent encore le nuage qui s’arrête aux frontières.