La redistribution et la gestion des
ressources sont des graves problèmes de la société capitaliste.
Plus d’un milliard d’êtres humains souffre de la faim alors que
l’agriculture biologique pourrait à elle seule nourrir l’humanité,
et que la production mondiale est inégalement répartie et dont les
gaspillages sont colossaux et futiles.
Les recherches de Malthus, qui
considérait que la majorité des êtres humains était condamné à
vivre dans la pauvreté parce que les ressources dépasserait le
nombre d’habitants sur Terre, sont faussés. Ses analyses se
portaient sur une région appauvrie par l’utilisation de la machine
et une concentration des richesses sans solidarité des échanges.
La redistribution des ressources (en
particulier alimentaire) qui va vers des échanges faciles d’accès
aux populations, permets une meilleure cohésion sociale. Seulement
le capitalisme actuel autorise la spéculation sur les produits
alimentaires, l’eau, le logement,ect...ce qui crée une instabilité
pour tenter de vivre, contribuant à favoriser la concentration des
richesses et la diminution des échanges pour les classes moyennes,
populaires et pauvres. Alors que la facilité des échanges comme
cohésion sociale fait chuter les naissances parce qu’il y a moins de
pauvreté, de peur du lendemain et de vision de plus de facilité à
vivre pour la génération suivante.
Dans le cas de type de culture ou de
communauté à expansion démographique par un nombre très élevé
d’enfants dans la famille. C’est le pouvoir en place qui est
responsable de la volonté de généraliser ce type de pratique. Elle
sera inévitablement génératrice de conflits divers et de scissions
interne, par l’augmentation radicale et soutenue d’une population
sans prise en compte des problèmes que celà engendreraient.
Au niveau de la production alimentaire,
près d’un tiers disparaissent. Pourtant consommable, c’est par des
critères basés sur la vue (son esthétisme) qu’ils sont jetés. Un
gaspillage complètement inutile.
La nourriture pourrît à cause de
transport choisi à moindre coût, pour faire plus d’argent. Les
ménages sont concernés par une mauvaise gestion des dates limites
de consommation et de leurs frigos.
La qualité de la nourriture est remise
en cause par les pesticides, les ogm et les rendements de plus en
plus élevés exigés qui provoque d’énorme gâchis. De plus, la
culture intensive contribue à l’épuisement des sols. Les
agriculteurs qui commercent avec les grandes groupes ou les
multinationales, payent des prix toujours plus élevés pour les
semences ou conserver sa production. Ce qui généralise la baisse de
la qualité des produits alimentaires et leurs gaspillages, et qui
profite aux industries de l’agroalimentaire.
Le facteur environnemental s’intègre
dans le processus de redistribution, avec un modèle bio-compatible,
avec une nouvelle gestion des gaspillages. Le facile accès aux
masses améliore la cohésion sociale, avec une capacité de
production conserver.