• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Cassiopée R

sur Le choc de compétitivité : enfin une idée géniale !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Cassiopée R 2 novembre 2012 14:41

La redistribution et la gestion des ressources sont des graves problèmes de la société capitaliste. Plus d’un milliard d’êtres humains souffre de la faim alors que l’agriculture biologique pourrait à elle seule nourrir l’humanité, et que la production mondiale est inégalement répartie et dont les gaspillages sont colossaux et futiles.


Les recherches de Malthus, qui considérait que la majorité des êtres humains était condamné à vivre dans la pauvreté parce que les ressources dépasserait le nombre d’habitants sur Terre, sont faussés. Ses analyses se portaient sur une région appauvrie par l’utilisation de la machine et une concentration des richesses sans solidarité des échanges.


La redistribution des ressources (en particulier alimentaire) qui va vers des échanges faciles d’accès aux populations, permets une meilleure cohésion sociale. Seulement le capitalisme actuel autorise la spéculation sur les produits alimentaires, l’eau, le logement,ect...ce qui crée une instabilité pour tenter de vivre, contribuant à favoriser la concentration des richesses et la diminution des échanges pour les classes moyennes, populaires et pauvres. Alors que la facilité des échanges comme cohésion sociale fait chuter les naissances parce qu’il y a moins de pauvreté, de peur du lendemain et de vision de plus de facilité à vivre pour la génération suivante.


Dans le cas de type de culture ou de communauté à expansion démographique par un nombre très élevé d’enfants dans la famille. C’est le pouvoir en place qui est responsable de la volonté de généraliser ce type de pratique. Elle sera inévitablement génératrice de conflits divers et de scissions interne, par l’augmentation radicale et soutenue d’une population sans prise en compte des problèmes que celà engendreraient.


Au niveau de la production alimentaire, près d’un tiers disparaissent. Pourtant consommable, c’est par des critères basés sur la vue (son esthétisme) qu’ils sont jetés. Un gaspillage complètement inutile.


La nourriture pourrît à cause de transport choisi à moindre coût, pour faire plus d’argent. Les ménages sont concernés par une mauvaise gestion des dates limites de consommation et de leurs frigos.


La qualité de la nourriture est remise en cause par les pesticides, les ogm et les rendements de plus en plus élevés exigés qui provoque d’énorme gâchis. De plus, la culture intensive contribue à l’épuisement des sols. Les agriculteurs qui commercent avec les grandes groupes ou les multinationales, payent des prix toujours plus élevés pour les semences ou conserver sa production. Ce qui généralise la baisse de la qualité des produits alimentaires et leurs gaspillages, et qui profite aux industries de l’agroalimentaire.


Le facteur environnemental s’intègre dans le processus de redistribution, avec un modèle bio-compatible, avec une nouvelle gestion des gaspillages. Le facile accès aux masses améliore la cohésion sociale, avec une capacité de production conserver.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès