Commentaire de Tristan Valmour
sur La morphine des amoureux
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Et ce langoureux baiser de lèvres porcelines vient dérouter la raison en une étrange mélopée, quand son temple s’entrouvre au diapason de la morphine. Un parfum diaphane tisse sa toile quand le gent damoiseau se bat et se débat pour s’abandonner à sa belle. Il n’était qu’un enfant, elle était tout son miel.
En l’honneur de ton article mon Marsu. Moi aussi je t’apprécie. Tu as remarqué, c’est la première fois que je tutoie quelqu’un ici.
Derniers commentaires
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13/04 07:59 -
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04/03 09:38 - Initiales cédées
Ecris-moi, j’ai une information essentielle à te faire passer et je ne peux absolument (...)
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01/03 13:54 - Arf
J’aime décidément trop ce texte. Je te le prends en copyleft.
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24/02 18:53 - Cosmic Dancer
Celle-ci. En version originale, parfaite. Un grand moment : http://www.youtube.com/watch?v=3NSncP-h
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15/02 20:35 - Cosmic Dancer
Lu l’article que tu m’as conseillé. Il m’a rappelé la parole d’un sage (...)
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13/02 18:19 - Marsupilami
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