L’emploi à vie n’est pas la norme en France, même dans la fonction publique. Il permettrait pourtant une stabilité sociale qui rendrait le système plus vivable pour bon nombre. Il impliquerait un véritable travail de la part des dirigeants, à savoir celui de prévoir, ce qui est la base même de leur travail. Car diriger, c’est prévoir. A l’heure actuelle, les dirigeants, notamment d’entreprise sont exonéré de leur travail, et passent leur « temps de travail » en lobbying intensif et magouille de tout poil. Excepté ceux qui dirigent les PME, et TPE, qui eux, ne sont au final que des employés sans droits du travail et qui, dans un système cohérents, ne devraient pas être entrepreneurs (mais simplement chef de service). Il faut donc revenir à une politique de prévision de l’avenir, prévision évidement pessimiste et austère, mais avant tout austère dans le superflu (et donc une forte taxation pour ceux qui disposent de bien surnuméraires) et non pas dans le nécessaire. Le privé est grand fournisseur de superflu, c’est à ce niveau qu’il faut taper.
Pour investir, il faut de l’argent, l’argent dont dispose les actionnaires. Les actionnaires en eux même sont inutiles. Ils sont un poids mort pour la société. Le coco ne créer pas la dette, il travail pour la rembourser. Il n’est pas suffisamment influent, au niveau économique, pour en être responsable, de par son faible poids. Contrairement aux possédants occidentaux, qui sont considérablement responsables de la situation occidental, de par leur pouvoir considérable. Les possédants occidentaux doivent être dépossédés, un « reset » des possessions doit être effectués, car ils ont échoués. C’est une sanction à mon sens très clémente, car leur échec n’est pas simplement due à leur grande incompétence, mais également à une volonté de nuire à un système qui a réussie par le passé à être juste.
La concurrence n’est rien de plus qu’un dopage, les conséquences sont très lourde (divisions des structures et donc perte de l’avantage d’économie d’échelle, nécessité de la publicité)
La motivation qu’elle apporte au producteur est un boost éphémère. Se baser là dessus est mortel. L’exemple du Venezuella est mauvais, car ce pays est fondamentalement saboté par une opposition qui contrôle en grande partie le coté économique du pays. Mais le fait est que seul le pouvoir élu est légitime, et le pouvoir économique n’est élu nul part, ce qui fait que ce pouvoir conséquent est illégitime et doit donc être neutralisé. Le soucis du comment se pause, et il semble que la méthode Chavez, pacifique et moins violente que son opposition, n’est pas efficace. Le seul moment où cet exploit a été réalisé avec succès fut lors de la libération, car les possédants étaient alors vu comme ce qu’ils n’ont jamais cessé d’être, des traitres, et qu’ils ont été sanctionnés dans la violence, par le peuple.