Commentaire de Tristan Valmour
sur La morphine des amoureux
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Marsu,
Ton billet m’a rendu primesautier, aussi ai-je le plaisir de partager le fruit de ma présente humeur avec toi et les lecteurs d’Avox. Que règne le big bisou et embrassez qui vous voudrez. Et comme dirait un ami poète, ce n’est pas parce qu’on a un chef d’oeuvre à la maison qu’on ne peut pas aller au musée.
***
Le feu infernal d’une passion immolée
Me brûle d’amour pour une étrange inconnue,
Et mon cœur se consume en désirs enflammés
Dans les chemins glacés de ma propre vertu.
Le soleil indécent de mon rêve innocent
Darde de ses rayons d’or mon doux désespoir
Comme un astre encor’ mort, mais bientôt renaissant
Qu’une intime lumière éclaire chaque soir.
Derniers commentaires
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13/04 07:59 -
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04/03 09:38 - Initiales cédées
Ecris-moi, j’ai une information essentielle à te faire passer et je ne peux absolument (...)
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01/03 13:54 - Arf
J’aime décidément trop ce texte. Je te le prends en copyleft.
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24/02 18:53 - Cosmic Dancer
Celle-ci. En version originale, parfaite. Un grand moment : http://www.youtube.com/watch?v=3NSncP-h
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15/02 20:35 - Cosmic Dancer
Lu l’article que tu m’as conseillé. Il m’a rappelé la parole d’un sage (...)
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13/02 18:19 - Marsupilami
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