Tel le personnage
fictif de Tolkien, Gollom est tellement obsédé par le pouvoir de son anneau qu’il
en devient esclave !
Le fond de cet article, car il semblerait que cela vous ait
totalement échappé, concerne l’idée d’un virus conceptuel introduit dans les
croyances humaines par toute les religions du Livre ( le principe d’un dieu paternel
autoritaire extérieur et la nécessité d’un sauveur pour racheter un humanité
définitivement faible et pécheresse), virus introduit donc par des entités qui
ont ainsi pu établir leur système pyramidal de pouvoir sur la planète Terre et
de domination sur les humains. L’antique croyance des gnostiques à laquelle il
est fait référence concernait elle, l’incarnation parfaite de la déesse Sophia
dans la planète Terre et le chemin d’apprentissage à parcourir individuellement
pour ramener à la conscience la perfection de cette incarnation. L’une des
idées voue l’humanité à une impuissance définitive et suppliante face à une
autorité divine extérieure et l’autre concept permet un accomplissement par un travail sur soi.
Le parallèle avec les récits de Carlos Castaneda ne
constitue qu’une anecdote, significative toute fois, car la description des
prédateurs qui ont implantés ce virus idéologique dans les croyances humaines depuis
Abraham sont décrits de façon similaires par l’auteur en question et dans des
textes très anciens, écrit en copte et traduit bien postérieurement à l’édition
des ouvrages de Castaneda !
Quant à mon écriture et la compréhension que j’en ai, je laisse les lecteurs juges de qui fait
preuve d’un esprit sectaire et intransigeant et de qui tente d’apporter un
pierre à l’édifice commun.