famine,
Ce n’est pas lui qui en sort et y revient.
La situation est simple.
Mélenchon a quitté le PS qui devenait libéral. Il souhaite une vraie gauche.
Il l’a quitté après trente ans ce qui lui est assez reproché. Partant avec un petit groupe. Il y a là une honnêteté qui me plaît.
Il suffit de voir actuellement les pleurnicheries d’un Filoche qui reste tjrs chez les socios-démocrates. je ne veux même pas parler de Montebourg.
Souhaitant une alliance, indispensable il a obtenu celle d’un parti communiste à la ramasse, sans leader, ayant énormément perdu.
ce parti communiste qui est l’allié en France des socialistes.
Dès ceci posé on imagine la suite.
mélenchon et son PG sont coincés entre le PC et le PS.
Et c’est un peu « Andromaque » qui se joue ce jeu, ’"d’aller-retour , entre les uns et les autres, qui n’est pas sexuel mais au contraire impuissant.
A chaque élection, il faut des alliances. et on voit que le PC ne veut pas trop taquiner ses amis PS. Il y a des postes qui sont en jeu. Cette politique politicienne que nous détestons mais qui est essentielle car la force d’un parti , ce sont ses élus.
mélenchon, tt le mon de le sait, méprise le virage à droite du PS ; souffre de voir le PC faire des choix qui pourraient mettre en cause le FDG.
Le PC va et vient, comprenant que larguer Le FDG et mélenchon, ce serait tout perdre pour l’avenir.
car le bateau PS s’enfonce jour après jour.
Mais Mélenchon reste l’homme politique le plus déterminé, le plus engagé à gauche, le plus audible dans les medias.
un petit bijou dans le monde politique...
Alors...
Il tente un rendez-vous avec l’Histoire de notre pays.
Un rendez-vous inéluctable.
C’est sa force.